Index égalité hommes-femmes, la Mutuelle Saint-Christophe assurances obtient 99/100
Convaincue du potentiel de chacune et chacun de ses collaboratrices et collaborateurs, de leur capacité à progresser ensemble et de la nécessité de lutter contre toute forme de discrimination, la Mutuelle Saint-Christophe assurances s’engage depuis plusieurs années pour l’égalité femmes-hommes au sein de l’entreprise.
Depuis le 1er mars 2020, la loi Avenir Professionnel(1) impose aux entreprise française comptant entre 50 et 250 collaborateurs la mise en place d'un outil de mesure des écarts de rémunération : l'index de l'égalité femmes-hommes.
La Mutuelle Saint-Christophe assurances voit ses engagements gratifiés de la note de 99/100 au titre de l'année 2020.
L'index est calculé sur 100 points. Une note inférieure à 75/100 donne lieu à l'obligation pour l'entreprise de mettre en place un plan d'actions de mesures correctrices afin d'atteindre les 75 points dans un délai de trois ans sous peine de pénalités financières importantes.
Avec sa note de 99/100, la Mutuelle Saint-Christophe assurances progresse de 8 points par rapport à celle de 2019.
Elle est le résultat d’une politique RH ambitieuse qui place l’humain au cœur de son organisation.
Cet index se réparti de la manière suivante :
- Ecarts de rémunérations entre les femmes et les hommes : 39/40 points
- Ecarts de taux d’augmentations individuelles (hors promotions) entre les femmes et les hommes : 35/35 points
- Pourcentage de salariées revenues de congé maternité et ayant bénéficié d’une augmentation à leur retour : 15/15 points
- Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les salariés ayant perçu les plus hautes rémunérations : 10/10 points
Le calcul est réalisé chaque année, sur les rémunérations des collaborateurs en CDI et CDD, en équivalent temps plein, sur l'année civile précédant la publication.
- La loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 dite « loi avenir professionnel » prévoit des mesures en matière d'égalité femmes-hommes. Cette loi a été complétée par le décret n°2019-15 du 8 janvier 2019 qui impose aux employeurs un dispositif d'évaluation des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes, conduisant à la publication d'une notation.